Le fascia : qu'est-ce que c'est ?

Par Louise Cazals et Lucie Bordier-Ramauger

Par Louise Cazals, ostéopathe à Antibes (Alpes-Maritimes) et Lucie Bordier-Ramauger, ostéopathe à Montpellier (Hérault)

Si vous vous intéressez à l'ostéopathie et que, vous-même, vous êtes suivi par un ostéopathe, vous avez peut-être déjà entendu parler des fascias. Cependant, ce mot cache une réalité souvent bien obscure pour le patient que nous sommes. Afin de satisfaire notre curiosité à ce sujet, nous avons demandé à deux ostéopathes de nous aider à comprendre ce que sont les fascias. À la lecture des lignes qui suivent, nous vous souhaitons donc un voyage fascinant au cœur d'une des structures les plus méconnues du corps humain !

Nous tenons à préciser que les propos rapportés dans cet article n'engagent que leurs auteurs.

Rencontre avec nos interviewées

Avant d'entrer dans le vif du sujet, faisons tout d'abord un peu connaissance avec les deux ostéopathes qui se sont gentiment soumises à notre jeu de questions-réponses et ont permis la réalisation de cet article.

Louise Cazals : un intérêt particulier pour les fascias dès ses études d'ostéopathie

Louise Cazals, ostéopathe à Antibes

Après l'obtention de son baccalauréat scientifique en 2015, Louise a été admise au Centre Ostéopathique ATMAN de Sophia-Antipolis. Durant son cursus, elle a suivi un enseignement sur les techniques structurelles, tissulaires, viscérales et crâniennes.

Elle a effectué de nombreuses consultations en clinique interne encadrée, au sein de l'établissement, et a participé à des manifestations sportives. Après plus de 5000 heures de cours théoriques et pratiques, et la validation d'un mémoire sur le domaine des fascias, elle a obtenu son diplôme en juin 2020. Louise a, ensuite, évalué le marché pour trouver le meilleur endroit où implanter son cabinet. Elle s'est finalement installée à Villeneuve-Loubet, en juillet 2020, en collaboration avec un kinésithérapeute, puis à Antibes, en janvier 2021.

En janvier 2021, Louise déménagera professionnellement dans le centre d'Antibes, au sein d'un cabinet médical plus polyvalent, et ce, afin d'avoir plus d'interactions avec les autres professionnels de santé.

Le site Internet de Louise présente son cabinet et sa localisation, ainsi que les tarifs des séances en fonction des âges. Il met également en évidence quelles sont les indications thérapeutiques que peut prendre en charge un ostéopathe et pourquoi en consulter un.

Lucie Bordier-Ramauger : une ostéopathe toujours en quête de nouvelles connaissances

Lucie Bordier-Ramauger est actuellement installée dans un cabinet libéral, au centre de Montpellier. Elle est diplômée du Collège Ostéopathique Sutherland de Paris depuis 2014. Cette formation en cinq ans est agréée par le ministère de la Santé. Depuis l'obtention de son diplôme, Lucie continue à enrichir ses connaissances, tant théoriques que pratiques, en suivant des formations et des conférences. Elle nous en présente quelques-unes, ci-dessous, parmi celles qui lui ont beaucoup apporté :

  • la formation Ostéobébé permettant de prendre en charge spécifiquement les nourrissons,
  • la formation Urgences ostéopathiques : prise en charge des douleurs aiguës du rachis,
  • la conférence Céphalée et Ostéopathie, La mécanique de la douleur.

Lucie Bordier-Ramauger, ostéopathe à Montpellier

Pour connaître les domaines d'intervention de Lucie, n'hésitez pas à visiter son site Internet.

À la découverte des fascias méconnus

Les fascias sont des tissus fibreux qui enveloppent les muscles, les organes, les os, les nerfs et les vaisseaux. Ils sont composés de tissus conjonctifs tout comme les tendons, les ligaments ou les aponévroses. (ndlr : une aponévrose est une membrane qui recouvre le muscle ou lui permet de se fixer à un os.) Les fascias sont omniprésents. C'est le tissu le plus répandu dans le corps. On peut le comparer à une toile d'araignée.

Les fascias comparés à une toile d'araignée

Pour mieux comprendre ce que sont les fascias, Lucie nous propose de les imaginer par le biais d'une orange : considérons l'orange comme l'ensemble du corps. Les quartiers seraient les groupes musculaires ou d'organes, et la pulpe : un muscle ou un organe spécifique. Lorsque l'on coupe une orange en deux, une membrane blanche épaisse, qui enveloppe le fruit, est visible juste sous sa peau. Puis, une membrane plus fine enveloppe les quartiers et ,enfin, on arrive à la pulpe qui, elle-même, est séparée par une membrane encore plus fine. Ces différentes membranes s'apparentent aux fascias du corps : plus ou moins épais, certains sont très superficiels et d'autres plus profonds. Ils maintiennent et structurent l'ensemble des éléments du corps (muscles, organes, os, nerfs et vaisseaux). Ces tissus fibreux forment un réseau continu dans tout le corps qui doit être considéré comme une entité fonctionnelle à part entière. Ce réseau n'est pas linéaire, il s'organise en trois dimensions entre les différentes structures du corps, autant en profondeur qu'en surface. Par conséquent, celles-ci sont toutes reliées entre elles par les fascias. Parfois, ces derniers s'épaississent pour former un tendon, un ligament ou une aponévrose.

Au fil de ses recherches pour l'élaboration de son mémoire sur les fascias, Louise s'est intéressée au docteur Jean-Claude Guimberteau. Chirurgien plastique de la main et également chercheur, il a travaillé sur le système d'architecture de la peau. Dans sa vidéo : Promenade sous la peau, il décrit ce qui se passe au sein du tissu conjonctif avec un endoscope. (ndlr : un endoscope est un appareil médical, équipé d'une caméra et permettant d'explorer l'intérieur du corps humain.) Le docteur Guimberteau est le premier à avoir filmé ce qui se passe sous la peau et son documentaire a fait le tour du monde. Grâce à ses recherches, il a constaté qu'il existe une continuité tissulaire. Il présente ainsi l'anatomie du tissu conjonctif, composé de fibrilles de collagène qui sont tissées de façon irrégulière.

Les multiples propriétés du fascia

Le fascia présente différents rôles au sein de l'organisme :

  • garant de l'équilibre du corps et donc de l'homéostasie. (ndlr : l'homéostasie est la faculté qu'a un organisme à s'auto-réguler.)
  • maintien de l'intégrité anatomique. S'il était possible d'enlever tous les éléments du corps, à l'exception des fascias, l'apparence humaine serait préservée, car ces derniers maintiennent toutes les structures du corps (muscles, organes, os...) entre elles.
  • participation au fonctionnement physiologique et biomécanique du corps. Les fascias interviennent en tant qu'amortisseurs de pression et dans la protection contre les variations de tension.
  • barrière physique et biologique du corps. Les fascias s'adaptent aux différentes interactions du corps avec le monde extérieur, telles que les perturbations dues au stress, aux agressions et aux tensions.
  • communication entre les nerfs et les vaisseaux.
  • fonction hémodynamique. Ils interviennent dans le système vasculaire et lymphatique. Ils représentent des pompes périphériques et permettent la circulation.
  • protection de l'organisme. Les fascias participent au système immunitaire et de défense grâce aux leucocytes et phagocytes présents au niveau du tissu conjonctif.
  • influence sur notre bien-être physique et mental.
  • mobilité des structures les unes par rapport aux autres. Les fascias permettent à celles-ci de glisser entre elles, lors d'un étirement ou d'une contraction musculaire par exemple. Ils sont très résistants à la traction et peu élastiques.

Des fascias... Partout !

Les fascias sont présents à toutes les échelles de notre corps. Pour nous l'expliquer plus clairement, Louise cite l'ostéopathe Serge Paoletti :

C'est grâce aux fascias que le système musculaire peut fonctionner. Le système musculaire est le moteur des articulations, mais il est lui-même coordonné par la mécanique fasciale.

Serge Paoletti

Les chaînes fasciales s'enchaînent les unes aux autres sans interruption. Elles vont s'agencer suivant leur orientation et suivant leurs rôles physiologiques. Elles interviennent dans la transmission des forces. Les fascias peuvent se comparer à un mécanisme de cordes et de poulies dont le but est de coordonner les forces à l'ensemble du corps. Cela met en jeu le système musculaire et donc l'unité muscle-fascia. Ces chaînes permettent la coordination et l'harmonisation des mouvements. Lors de la marche, des mécanismes complexes s'organisent pour permettre la propulsion. Ceux-ci mettent en jeu, à leur tour, les chaînes fasciales pour accompagner les mouvements. Lors d'un traumatisme, celles-ci permettent au corps de répartir et d'amortir les chocs. Elles vont canaliser l'énergie afin de diminuer l'effet d'une lésion sur un organe par exemple.

Les fascias au coeur de l'ostéopathie

Les fascias : une notion étrangement méconnue aux yeux de nombreuses personnes

Pendant très longtemps, les fascias ont été ignorés par les scientifiques.

Lucie Bordier-Ramauger

C'est seulement depuis quelques années que des études poussées sont réalisées à ce sujet et mettent en lumière le rôle essentiel des fascias. Ces études ont permis d'établir une description anatomique précise des chaînes faciales du corps humain. Aujourd'hui, de plus en plus de professionnels de santé (chirurgiens, kinésithérapeutes, ostéopathes, thérapeutes manuels...) prennent en considération les fascias dans leur diagnostic et dans la prise en charge thérapeutique.

La composition des fascias

Les fascias se composent de différentes cellules du tissu conjonctif (en majorité de fibroblastes, mais également de macrophages, plasmocytes, mastocytes, adipocytes, leucocytes) mais aussi de fibres de collagène (pour la résistance à la traction), de fibres élastiques (pour la résistance et la stabilité) et de réticuline (pour le soutien et le renfort). De plus, tous ces éléments baignent dans la substance fondamentale qui est la composante du tissu conjonctif : elle ressemble à un gel visqueux et lubrifiant. Elle se situe entre les cellules et les fibres et se compose d'acide hyaluronique. Elle intervient dans le développement des tissus ainsi que dans l'absorption des chocs. Les cellules du tissu conjonctif ont aussi un rôle dans la cicatrisation, car elles synthétisent les fibres de collagène, et c'est grâce à ce collagène que la cicatrisation d'une plaie ouverte est possible.

Les pathologies directement liées au fascia

Plusieurs pathologies sont en lien avec les fascias, notamment les douleurs chroniques comme l'arthrose, les lombalgies, les cervicalgies, la fibromyalgie et d'autres rhumatismes. En cas de traumatismes, les fascias sont aussi associés aux entorses ou aux tendinites. Concernant le domaine sportif, on peut citer les aponévrosites plantaires (ndlr : douleur au talon) et chez les personnes prédisposées génétiquement : la maladie de Dupuytren. (ndlr : pathologie qui entraîne une rétractation des doigts de la main.) La thérapie par les fascias prend également en charge les pathologies de la sphère crânienne dont les céphalées, les migraines, les névralgies d'Arnold. Les douleurs abdominales et gynécologiques sont en lien avec les fascias comme, par exemple, les troubles du transit et les règles douloureuses. L'abord des fascias est intéressant chez les personnes anxieuses, en situation de stress, de fatigue et de burn-out. Les fascias jouent directement un rôle dans la cicatrisation des plaies. Le tissu fibreux prédomine dans les cicatrices, ce qui leur donne cet aspect de fibrose. Cette fibrose, qui se retrouve au niveau de toutes les cicatrices, est à l'origine de nombreux troubles et s'apparente à des adhérences. Les cicatrices peuvent perturber le tissu conjonctif et sa structure. Elles peuvent être responsables d'irritations, de spasmes douloureux ou même de pathologies pouvant déstabiliser les fonctions physiologiques de l'organisme.

Les pathologies liées aux fascias sont la conséquence d'un enraidissement, d'une perte de mobilité entre les différentes couches de fascias.

Lucie Bordier-Ramauger

Les raisons et manières de manipuler les fascias

La peau est la première structure que contacte l'ostéopathe avec ses mains. Elle représente une des clés thérapeutiques qui ouvre souvent les portes de la guérison. La qualité de la peau informe le praticien sur plusieurs éléments. Chez un patient, elle peut déterminer son état fonctionnel et cicatriciel, mais aussi celui de son métabolisme et de son psychisme, en passant par son aspect émotionnel et traumatique. Au niveau des tissus, il existe trois éléments subjectifs qui représentent des outils de communication tissulaire. La densité est le premier élément que le thérapeute contacte. Il teste celle d'une structure par la pression de sa main et adapte cette dernière à la zone concernée. La tension doit être également en accord avec le corps du patient. C'est à ce moment de la communication tissulaire que les tissus commencent à se relâcher. La vitesse correspond à la vitesse de déroulement tissulaire. Le praticien suit le mouvement involontaire des tissus et peut ressentir des relâchements à types de vagues. Ce sont les tissus qui guident le thérapeute. Tout au long de la séance, le praticien s'adapte à ceux du patient. Pierre Tricot, ostéopathe, présente ces paramètres dans son livre L'approche tissulaire de l'ostéopathie. Il explique qu'il ne suffit pas d'être présent physiquement, mais que la présence mentale est aussi primordiale pour avoir un résultat optimal lors d'un traitement.

Stimuler les fascias

Louise nous explique que la stimulation des fascias s'effectue de la façon suivante : l'écoute tissulaire, pratiquée dans son essence, évolue vers une véritable communication entre les tissus du patient et les mains du praticien. L'ostéopathe, en travaillant sur les fascias, communique avec le patient. Le rôle du cerveau est de réorganiser en permanence les différentes fonctions vers l'unité corporelle. Parfois, l'intensité de cette émotion est trop forte et le corps ne peut plus maintenir son équilibre corporel. Lorsqu'un choc diminue le potentiel tissulaire au niveau d'un fascia, le cerveau perd alors le pouvoir de le restaurer. L'ostéopathe, en posant ses mains au niveau des fascias, donne la possibilité au cerveau de mieux assurer sa fonction.

Lucie complète cette explication en indiquant qu'on retrouve souvent les pathologies liées aux fascias après une immobilisation prolongée (plâtre) ou chez les personnes sédentaires. C'est pour cette raison que la meilleure façon de stimuler les fascias est l'activité physique.

Quand on ne bouge pas, on rouille.

Robert Schleip, spécialiste des fascias

L'activité physique va stimuler le remplacement, par les fibroblastes, des anciennes cellules par des nouvelles, plus souples et plus élastiques. Cela permet donc de maintenir une bonne mobilité entre les différentes couches de fascias et aussi de favoriser les apports vasculaires et nerveux nécessaires au bon fonctionnement des organes et des muscles. Lucie ajoute qu'un autre paramètre à prendre en compte est l'hydratation : le tissu conjonctif est, en partie, composé d'eau, il est donc important de bien s'hydrater au quotidien. De plus, des étirements et des auto-massages permettent de favoriser une bonne mobilité des fascias. Ils doivent être réalisés en douceur et sans douleur. Lucie insiste cependant sur le fait que les étirements et auto-massages sont réservés aux personnes sans maladie ni antécédents particuliers, sinon il est conseillé de demander l'avis d'un professionnel de santé.

L'activité physique pour stimuler

Les fascias ont aussi leur thérapie ou fasciathérapie

La fasciathérapie est une thérapie manuelle agissant au niveau des fascias. Cette pratique a vu le jour dans les années 1980 grâce au kinésithérapeute ostéopathe Danis Bois. Elle met en évidence l'autorégulation du corps et permet un bien-être physique et psychique. C'est une thérapie manuelle visant à redonner au fascia tout son potentiel physiologique en exerçant des compressions et des étirements spécifiques.

Et le mal de dos lié au fascia ?

Le mal de dos est l'un des principaux motifs de consultation que l'on observe en cabinet d'ostéopathie. Un Français sur quatre, environ, se plaint de maux de dos : lombalgies, lumbagos, dorsalgies, cervicalgies. Un traitement au niveau des fascias permet de redonner de la souplesse et de diminuer la douleur au niveau de la zone atteinte. L'un des fascias les plus importants du corps est le fascia thoraco-lombaire, il relie les muscles dorsaux aux muscles fessiers. Si celui-ci n'est pas régulièrement stimulé, sa capacité d'étirement et de glissement diminuera. Cela provoquera un enraidissement de toute la zone et modifiera le seuil de la douleur : un mouvement même minime sera perçu par les capteurs nociceptifs, (ndlr : capteurs sensibles à la douleur) présents dans les fascias, comme un mouvement anormal et provoquera une douleur. L'abord ostéopathique par les fascias a donc pour but de relâcher les tissus trop tendus. En effet, une atteinte physique ou émotionnelle peut avoir un impact sur la crispation d'un tissu notamment au niveau du dos d'où l'expression : En avoir plein le dos.

Le mal de dos lié au fascia ?

Une question que vous auriez voulu que l'on vous pose

Louise aurait aimé qu'on lui pose les deux questions suivantes :

  • De quelle manière les émotions sont-elles inscrites dans les fascias ?
  • Quelle est la place de l'ostéopathie dans cette interaction ?

En effet, en quatrième et cinquième années d'études, Louise a réalisé un mémoire bibliographique afin de valider son diplôme. Elle s'est intéressée à l'abord de l'ostéopathie émotionnelle. Durant ses séances de traitement, à la clinique de l'établissement ATMAN, elle a remarqué que la dimension psychologique avait une place dans certaines pathologies.

Lors de stress ou de chocs physiques et psychiques, les tissus de notre corps se crispent et plus particulièrement au niveau des fascias.

Louise Cazals

L'individu est un être global. En effet, Louise a constaté que l'émotion est, à la fois, l'interface et le lien entre le corps et l'esprit. Le corps est indispensable à l'expression de l'émotion et non pas une simple manifestation de celle-ci. Le mémoire de Louise cherche à expliquer l'interaction de l'émotion avec le corps et l'action de la thérapie corporelle sur le psychisme, par l'intermédiaire du tissu conjonctif. Les ostéopathes se retrouvent souvent devant des situations présentant un barrage émotionnel. Ce dernier peut perturber la libération de blocages somatiques. Par l'écoute et la libération tissulaire, les ostéopathes peuvent influer sur la santé totale de l'individu en traitant le réseau fascial et en rétablissant ainsi la fonction du corps qui a été perturbée. Cette thérapie de l'inconscient, associée à l'approche ostéopathique, consiste à chercher, dans le passé du patient, la lésion primaire, cause de sa souffrance. Les émotions font perdre de l'élasticité et de la viscosité au tissu conjonctif. L'amélioration ressentie après une libération émotionnelle, tant psychique que physique, par le traitement ostéopathique permet de faire prendre conscience, au patient, des bénéfices du bien-être psychologique sur le reste de son organisme. La finesse, l'expérience palpatoire et la présence du praticien, à tous les niveaux, sont des éléments primordiaux dans la mise en évidence d'une dysfonction ostéopathique en lien avec l'histoire de l'individu. Il s'agit d'instaurer un dialogue avec les tissus par l'intermédiaire du toucher afin de les comprendre.

Osteo2ls et Louise : une relation depuis toujours (ou presque !)

Louise utilise Osteo2ls depuis le début de son activité professionnelle. Il lui permet de planifier ses rendez-vous en ligne, de suivre sa comptabilité qui est automatisée et de créer des fiches-patients complètes avec des schémas. Il lui fait gagner beaucoup de temps et lui donne une vue d'ensemble de son cabinet.