Ostéopathes à Rennes (35000)

Rennes est la préfecture du département de l'Ille-et-Vilaine, en Bretagne. Réputée pour sa qualité de vie et son patrimoine culturel, la ville est également connue pour son équipe cycliste Arkéa-Samsic au palmarès impressionnant.

Sur un vélo, le fait de rester longtemps assis et penché en avant, peut entraîner des douleurs dans les épaules. Pour que celles-ci ne deviennent pas chroniques, consulter un ostéopathe de Rennes est une bonne solution pour détendre les structures contractées et soulager la douleur. D'autre part, comme le coureur cycliste a le haut du corps statique, alors que ses membres inférieurs sont en mouvement continuel, cela peut également entraîner des douleurs au niveau des lombaires. Lors de la séance, l'ostéo à Rennes va donc vérifier l'ensemble de la colonne vertébrale. Il va bien sûr agir également sur les articulations des jambes pour rechercher d'éventuelles restrictions de mobilité et les corriger, permettant ainsi au cycliste de rester performant.

Pendant la grossesse, le corps de la femme est perturbé. L'intervention d'un ostéopathe de Rennes permet à la maman de mieux vivre cette période et ces déséquilibres, notamment au niveau de la posture. Le poids du bébé demande à la maman de s'adapter continuellement pendant 9 mois. Certaines douleurs peuvent apparaître au niveau de la colonne vertébrale (cervicalgies, dorsalgies, lombalgies), du bassin et du coccyx. Les systèmes digestifs et urinaires peuvent également être touchés dont des constipations et des difficultés à uriner. Les jambes lourdes et les maux de tête sont également des motifs de consultation fréquents pendant cette période. L'appareil digestif peut également être perturbé et entrainer des nausées, des vomissements et des troubles du transit.

L'accouchement est un changement brutal pour le corps, mais il a aussi des répercussions sur l'état psychologique de la maman. Une fatigue et un état déprimé sont souvent présents. On appelle cela le baby blues.

Il est donc important d'avoir un suivi pendant et après l'accouchement.

Une consultation se divise en cinq parties : l'anamnèse, l'observation, les tests ostéopathiques pour déterminer les zones de dysfonctions, les corrections, les conseils et l'explication des futurs traitements si besoin.

Tout d'abord l'anamnèse. Elle permet à votre ostéopathe de Rennes d'obtenir les renseignements administratifs du patient : nom et prénom, date de naissance, adresse, profession, situation familiale et enfants. Elle permet également de déterminer le motif de consultation du patient. L'ostéopathe posera plusieurs questions afin d'en savoir davantage : le type de douleurs (brulure, spasme, torsion…),comment et quand est apparue la douleur, sa fréquence et sa durée. Le praticien demandera aux patients quels sont les facteurs aggravants et soulageant de la douleur afin de déterminer la source du problème. Il demandera également où le patient place sa plainte sur une échelle de 1 à 10. Enfin il demandera si des examens complémentaires et si un avis médical à été effectué auparavant. De plus, cet interrogatoire permet de récolter des informations sur les antécédents personnels : traumatisme (chutes, accidents de voiture, entorse, fracture), opérations, hospitalisations et alitements. Il permettra également de récolter des informations sur les antécédents familiaux (cancers, diabète, hypertension, maladies graves). L'ostéopathe pose toutes ces questions afin d'en savoir plus sur le mode de vie de son patient : traitements médicaux, alimentation/café/gluten, alcool/cigarette, activités sportives, type d'emploi…

Ensuite, le praticien observe son patient en statique et en dynamique pour déterminer sa posture. Puis il lui demande d'effectuer les mouvements qui lui créent cette douleur. Puis, le thérapeute met en place des tests ostéopathiques pour déterminer les zones de dysfonctions. Il effecture ensuite des corrections appropriées au patient.

Enfin, le thérapeute pourra délivrer des conseils à son patient : alimentation, posture, étirements, exercices afin d'avoir un meilleur résultat sur le long terme. Il pourra également discuter avec lui des futurs traitements et de l'objectif qu'il veut atteindre.

Il est des circonstances, finalement peu nombreuses, où il vaut mieux, effectivement ne pas prodiguer de soins ostéopathiques. La plupart du temps, si le traitement ostéopathique n'est pas la meilleure indication relative à l'affection du patient, il peut aider celui-ci à recouvrer un meilleur équilibre et un meilleur bien-être. Il peut même, dans certains cas, permettre à l'organisme de lutter plus efficacement contre l'affection n'étant pas du ressort direct de l'ostéopathie. Il peut enfin parfois aider considérablement la personne à se remettre de sa maladie et du traitement médical qui a été nécessaire. Ces traitements, parfois lourds, laissent l'organisme souvent en état de faiblesse générale.

Quelques cas de contre-indications

Les maladies graves au cours de leurs périodes d'évolution aiguë. Tel est le cas du cancer qui évolue, de la sclérose en plaques et de la polyarthrite lors des périodes de crise. Les personnes atteintes de ces maladies peuvent pourtant bénéficier de soins ostéopathiques avec profit en dehors des crises ou quand le traitement spécifique a été appliqué. Un traumatisme récent peut être une contre-indication, notamment en cas de fracture, de doute que la radio n'a pas levé, ou de traumatisme crânien. Là encore, l'ostéopathie s'indiquera plus tard, lorsque la phase aiguë sera passée et que le traitement approprié éventuellement nécessaire aura été appliqué.

Chaque fois que le praticien a des doutes quant à l'affection dont souffre le patient, il doit se référer aux praticiens compétents dans le but d'obtenir une certitude et de lever le doute.